Perles et coquilles relevées dans des courriers/mails adressés à la sécurité sociale. On se demande si certains ne le font pas exprès.
Encore une fois, ces perles et coquilles sont telles qu’elles, avec les fautes, bien sûr.
- Certificat médicale pour mon enfant que je mets dans ma lettre pour arranger mon dossier.
- Je croyais que j’avais le droit de toucher pour le travail de mon cubain.
- Quand mon petit a eu 5 ans, la caisse m’en a coupé la moitié.
- Je vous ai demandé de me les couper, j’ai offert à la caisse de les laisser, vous m’avez répondu que vous pourriez les garder.
- Je suis obligée de travailler un terrain inculte à l’âge de 73 ans.
- Orphelin à l’âge de 13 ans, j’ai vécu de droite à gauche, mais toujours dans le droit chemin.
- Mon mari est pour le moment décédé.
- Jusqu’au 20, la quinzaine, c’est long.
- On a coupé la bourse de mon fils, il ne va plus en classe.
- Habitant sur le derrière et ne m’y trouvant pas bien, je voudrais un prêt pour l’amélioration.
- Je suis resté malade à cheval sur deux mois.
- J’ai ma femme à l’état de grossesse et désire m’inscrire à la prénatation.
- Mon mari souffre d’un abcès sédentaire.
- Je possède quelques pieds de vigne que mon fils fait marcher.
- N’étant pas chômeur secouru, je me suis mis à ramasser quelques bouts de tôle pour faire manger mes enfants.
- Mlle Josette est digne d’intérêt. Elle est fille mère, elle nourrit son enfant aux sains sans pouvoir nouer les deux bouts ; venez-lui en aide.
- Mr. le directeur, mon mari est mort. Dites-moi comment le faire sortir de la caisse.
- J’espère que vous aurez pitié d’un pauvre homme qui a sept enfants à manger plus sa femme t sa belle-mère.
- Comme mon mari doit partir chez les fous, je l’envoie à votre bureau.
- Mon mari est en créventorium, on lui fait un plumeau au thorax.
- Voici huit jours que je suis couchée avec un docteur près de moi, j’essaierais bien un autre, mais mes possibilités m’en empêchent.
- Depuis que je vous ai écrit que j’étais sourde, je n’ai plus entendu parler de ma retraite complémentaire.
- Est-ce que j’ai droit à un congé pour aller enterrer ma belle-mère qui est mourante. Merci de me faire ce plaisir.
- J’habite la montagne, et l’accouchement de ma femme m’a occasionné de nombreux frais car il a fallu un chasse-neige pour ouvrir le passage.
- Suite au passage de votre contrôleur, veuillez m’envoyer un carnet de maternité.
- De plus, notre fille de 20 ans s’est trouvée enceinte et il a fallu la marier. Bien sûr, vous me direz que vous n’y êtes pour rien.
- Cette place irait bien à mon mari qui est très bricoleur. Nous avons eu 7 enfants en neuf ans de mariage.